Auteur : Olympe33  

Malheureusement, Marie, je vois moi aussi aujourd'hui que le troisième est fort mal en point. Il en reste deux pour l'instant!?!? Vont-ils tenir le coup???? Il semble que ce soit une année très difficile au final. 🥲

Auteur : Jessalyn  

Moi j’en vois deux ! C’est triste

Auteur : Saranet  

Oui il n'y en a plus que 2 dans le nid, le troisième a été éjecté sur le côté du nid avant d'être jeté en bas... c'est trop triste, il y avait une si jolie couvée

Auteur : Olympe33  

Je regarde à l'instant le nid. Les deux parents se tiennent debout. Les deux petits ont leurs cous enlacés. 💚
Néanmoins, je trouve leur respiration très forte. Leur corps se dilatent beaucoup... Normal????

Auteur : Cath4  

Les lois de la nature sont sans pitié pour les plus faibles

Auteur : Olympe33  

Bon, nos deux cigogneaux semblent bien se porter. Ce matin j'ai vu le plus gros des deux, se lever d'une longue sieste et s'approcher dos au vide pour évacuer ses besoins, comme ses parents. Tandis que la plus petite imitait maman en répartissant les brindilles pour rendre plus moelleux le nid. Je dis "la" car il me semble que c'est une femelle, elle a des cris perçants tandis que le plus gros des deux, crie comme un canard (registre nettement plus grave).

Auteur : Olympe33  

La plus petite a de plus en plus de mal à respirer, me semble t-il... Et elle profite beaucoup moins que son frère. Ce matin, les parents très complices renforcent le nid avec de gros brins (pour empêcher le petit intrépide de tomber ? pour le protéger du vent maintenant qu'il a bien grandi?). Lui, gaillard, fait sa toilette, tente de battre des ailes comme ses parents... Ça m'attriste cette petite qui peine à trouver son souffle et les parents qui luttent pour leurs cigogneaux qui de 6, ne sont bientôt plus qu'un seul. Oui, comme dit Cath, la nature est sans pitié.

Auteur : Olympe33  

Ce matin, j'ai entendu le plus gros des poussins caqueter (claquer son bec) comme ses parents. Quel frimeur! C'est déjà un ado. Il tente de s'envoler mais reste cloué au sol faute de plumes bien développées. Sa grosse voix. La petite, elle, je a trouve extrêmement résistante. Elle tient le coup malgré son souffle difficile. Quelle endurance, quelle force de la nature. Et elle recherche toujours le cou de son frère pour mettre le sien dessus.
Maintenant je sais reconnaître la maman du papa. Elle a les pattes et le bec moins rouges que lui. Effectivement comme il avait été dit dans la sortie, son bec à lui est plus grand que le sien à elle. Et lui est toujours debout (sauf lorsqu'il fallait la remplacer pour couver les oeufs). Tandis qu'elle couve toujours à un moment ou à un autre, ses petits.
TRÈS BEAU CADEAU QUE TU NOUS A FAIT LÀ, MARIE.