Film d'une réalisatrice kosovare, Berlta Basholli. Il est rare que les films des Balkans aient droit à une sortie nationale. Il faut encourager ce genre d'initiative.
"Au-delà de sa dimension féministe, La Ruche captive aussi par son évocation des cicatrices de l’histoire dès sa première scène : un plan-séquence impressionnant où Fahrije ouvre avec fébrilité les sacs dans lesquels ont été glissés les restes d’un charnier."
Télérama
Bonnes critiques également dans El Mundo, le New York Times ou le quotidien suisse Le Temps (lien)